Merci pour vos partages d'expériences. C'est toujours bon d'avoir des exemples concrets pour se faire une idée plus précise des risques et des solutions.
Perso, je dirais qu'un audit de liens régulier, c'est la base. Avec des outils comme Ahrefs ou Majestic, tu peux détecter les liens toxiques qui pointent vers ton site et demander leur suppression. Si le propriétaire du site ne répond pas, tu peux utiliser l'outil de désavoeu de Google.
Et bien sûr, attention au contenu dupliqué, interne comme externe. Checker régulièrement avec Copyscape ou des outils similaires, ça aide.
Carrément d'accord avec l'audit de liens régulier 👍. C'est un peu comme faire le grand ménage de printemps, mais pour ton site web. Et pour compléter, je dirais qu'il ne faut pas négliger la vitesse de chargement des pages. Google considère ça comme un facteur important pour l'expérience utilisateur, et une mauvaise vitesse peut indirectement mener à une baisse de positionnement et donc à des soucis... 🐌 On peut utiliser Google PageSpeed Insights pour avoir des recommandations concrètes. C'est gratuit et assez facile à comprendre, même pour les moins tech d'entre nous 😉.
Hello Simone67,
Quand tu parles de contenu dupliqué, tu vises surtout le duplicate content interne (plusieurs pages qui se cannibalisent sur ton propre site) ou aussi le scraping externe (d'autres sites qui reprennent ton contenu sans citer la source) ? 🤔 Les deux demandent pas forcément les mêmes actions, non ? 😉
Salut BinaryBeast,
C'est une excellente question ! Je pensais surtout au contenu dupliqué externe, le scraping sauvage qui peut vraiment nuire. Mais tu as raison de souligner que le duplicate content interne est tout aussi problématique, voire plus sournois. Disons que les deux sont des plaies à surveiller, mais qu'elles se traitent différemment, effectivement.
Pour l'interne, c'est optimisation des balises title et meta description, canonicalisation, et parfois noindex si vraiment la page n'a pas d'intérêt. Pour l'externe, c'est plutôt mise en demeure, signalement à Google, etc.
L'analyse de BinaryBeast et la réponse de Simone67 mettent en lumière un point souvent sous-estimé : la distinction cruciale entre le duplicate content interne et externe. Je suis d'avis qu'on devrait peut-être même aller plus loin dans la catégorisation des risques.
Par exemple, concernant le contenu dupliqué interne, il faudrait considérer l'impact des variations mineures. Une étude de 2023 a montré que des pages avec seulement 15% de contenu différent peuvent déjà être perçues comme du duplicate content par Google, surtout si elles ciblent les mêmes mots-clés. D'où l'importance d'une canonicalisation impeccable, comme le souligne Simone67.
Pour le duplicate content externe, la riposte dépend vraiment du niveau de "scrapping". Si on parle de republication intégrale sans attribution, la mise en demeure est évidemment la première étape. Mais si c'est juste une citation partielle ou une reformulation légère, le signalement à Google peut être perçu comme excessif. Dans ces cas, une approche plus diplomatique (demande de lien, proposition de collaboration) peut s'avérer plus payante à long terme. Tout est une affaire d'évaluation du préjudice réel et du ROI potentiel de chaque action.
Enfin, n'oublions pas le "thin content", qui peut aussi mener à des pénalités. Des pages avec moins de 300 mots et peu de valeur ajoutée sont souvent pointées du doigt par Google. Même si ce n'est pas du duplicate content à proprement parler, ça peut signaler un manque de qualité globale du site. En résumé, un audit régulier ne se limite pas aux liens, mais doit aussi passer en revue le contenu lui-même, tant interne qu'externe.
DataVoyager a raison, c'est un point qui est souvent mal compris. Pour bien visualiser tout ça, je vous partage cette vidéo de Julien Ringard et Guillaume Robbe sur les pénalités SEO. Ils y expliquent avec des cas concrets comment s'en sortir. C'est assez parlant pour comprendre comment Google voit les choses.
Bon, alors, après avoir écouté vos conseils et maté la vidéo (merci AddisInsight95 !), j'ai pris le taureau par les cornes et lancé un audit de liens avec Ahrefs. Effectivement, j'avais quelques liens bien cracra qui trainaient, des vieux trucs de guest blogging pas toujours hyper clean... J'ai contacté les webmasters pour demander la suppression (certains ont répondu, d'autres non), et pour les récalcitrants, direction l'outil de désavoeu de Google.
Pour l'instant, pas de sanction, mais je me sens plus sereine. Je vais mettre en place une routine d'audit mensuelle pour éviter que ça ne se reproduise. C'est fou ce qu'on peut accumuler comme "déchets" SEO sans s'en rendre compte !
Simone67, ton retour d'expérience est super utile 👍. C'est clair que la maintenance SEO, c'est comme le ménage, faut le faire régulièrement sinon on se fait dépasser par les événements 😅. Et puis, le coup des "déchets" SEO, c'est tellement vrai ! On se dit souvent "c'est bon, c'est fait", et puis on oublie... Jusqu'à ce que Google nous le rappelle d'une manière moins agréable 😬.
le 15 Juin 2025
Merci pour vos partages d'expériences. C'est toujours bon d'avoir des exemples concrets pour se faire une idée plus précise des risques et des solutions.
le 15 Juin 2025
Perso, je dirais qu'un audit de liens régulier, c'est la base. Avec des outils comme Ahrefs ou Majestic, tu peux détecter les liens toxiques qui pointent vers ton site et demander leur suppression. Si le propriétaire du site ne répond pas, tu peux utiliser l'outil de désavoeu de Google. Et bien sûr, attention au contenu dupliqué, interne comme externe. Checker régulièrement avec Copyscape ou des outils similaires, ça aide.
le 16 Juin 2025
Carrément d'accord avec l'audit de liens régulier 👍. C'est un peu comme faire le grand ménage de printemps, mais pour ton site web. Et pour compléter, je dirais qu'il ne faut pas négliger la vitesse de chargement des pages. Google considère ça comme un facteur important pour l'expérience utilisateur, et une mauvaise vitesse peut indirectement mener à une baisse de positionnement et donc à des soucis... 🐌 On peut utiliser Google PageSpeed Insights pour avoir des recommandations concrètes. C'est gratuit et assez facile à comprendre, même pour les moins tech d'entre nous 😉.
le 16 Juin 2025
Hello Simone67, Quand tu parles de contenu dupliqué, tu vises surtout le duplicate content interne (plusieurs pages qui se cannibalisent sur ton propre site) ou aussi le scraping externe (d'autres sites qui reprennent ton contenu sans citer la source) ? 🤔 Les deux demandent pas forcément les mêmes actions, non ? 😉
le 16 Juin 2025
Salut BinaryBeast, C'est une excellente question ! Je pensais surtout au contenu dupliqué externe, le scraping sauvage qui peut vraiment nuire. Mais tu as raison de souligner que le duplicate content interne est tout aussi problématique, voire plus sournois. Disons que les deux sont des plaies à surveiller, mais qu'elles se traitent différemment, effectivement. Pour l'interne, c'est optimisation des balises title et meta description, canonicalisation, et parfois noindex si vraiment la page n'a pas d'intérêt. Pour l'externe, c'est plutôt mise en demeure, signalement à Google, etc.
le 17 Juin 2025
L'analyse de BinaryBeast et la réponse de Simone67 mettent en lumière un point souvent sous-estimé : la distinction cruciale entre le duplicate content interne et externe. Je suis d'avis qu'on devrait peut-être même aller plus loin dans la catégorisation des risques. Par exemple, concernant le contenu dupliqué interne, il faudrait considérer l'impact des variations mineures. Une étude de 2023 a montré que des pages avec seulement 15% de contenu différent peuvent déjà être perçues comme du duplicate content par Google, surtout si elles ciblent les mêmes mots-clés. D'où l'importance d'une canonicalisation impeccable, comme le souligne Simone67. Pour le duplicate content externe, la riposte dépend vraiment du niveau de "scrapping". Si on parle de republication intégrale sans attribution, la mise en demeure est évidemment la première étape. Mais si c'est juste une citation partielle ou une reformulation légère, le signalement à Google peut être perçu comme excessif. Dans ces cas, une approche plus diplomatique (demande de lien, proposition de collaboration) peut s'avérer plus payante à long terme. Tout est une affaire d'évaluation du préjudice réel et du ROI potentiel de chaque action. Enfin, n'oublions pas le "thin content", qui peut aussi mener à des pénalités. Des pages avec moins de 300 mots et peu de valeur ajoutée sont souvent pointées du doigt par Google. Même si ce n'est pas du duplicate content à proprement parler, ça peut signaler un manque de qualité globale du site. En résumé, un audit régulier ne se limite pas aux liens, mais doit aussi passer en revue le contenu lui-même, tant interne qu'externe.
le 18 Juin 2025
DataVoyager a raison, c'est un point qui est souvent mal compris. Pour bien visualiser tout ça, je vous partage cette vidéo de Julien Ringard et Guillaume Robbe sur les pénalités SEO. Ils y expliquent avec des cas concrets comment s'en sortir. C'est assez parlant pour comprendre comment Google voit les choses.
le 19 Juin 2025
Bon, alors, après avoir écouté vos conseils et maté la vidéo (merci AddisInsight95 !), j'ai pris le taureau par les cornes et lancé un audit de liens avec Ahrefs. Effectivement, j'avais quelques liens bien cracra qui trainaient, des vieux trucs de guest blogging pas toujours hyper clean... J'ai contacté les webmasters pour demander la suppression (certains ont répondu, d'autres non), et pour les récalcitrants, direction l'outil de désavoeu de Google. Pour l'instant, pas de sanction, mais je me sens plus sereine. Je vais mettre en place une routine d'audit mensuelle pour éviter que ça ne se reproduise. C'est fou ce qu'on peut accumuler comme "déchets" SEO sans s'en rendre compte !
le 19 Juin 2025
Simone67, ton retour d'expérience est super utile 👍. C'est clair que la maintenance SEO, c'est comme le ménage, faut le faire régulièrement sinon on se fait dépasser par les événements 😅. Et puis, le coup des "déchets" SEO, c'est tellement vrai ! On se dit souvent "c'est bon, c'est fait", et puis on oublie... Jusqu'à ce que Google nous le rappelle d'une manière moins agréable 😬.