L'originalité, c'est un peu le serpent qui se mord la queue dans la pub, non ? 🤔
Parce que ce qui est perçu comme "original" aujourd'hui sera peut-être ringard demain... Faut pas se louper. Mais bon, si c'est bien fait, ça peut faire mouche.
Je pense que le vrai avantage, c'est surtout de sortir du lot dans un océan de messages publicitaires qui se ressemblent tous. Si tu arrives à capter l'attention avec une idée vraiment neuve, tu as plus de chances de marquer les esprits et, potentiellement, de créer un lien émotionnel avec le public. Le truc, c'est que ça demande une sacrée dose de créativité (et un peu de courage, faut dire).
Après, pour le ROI, c'est là où ça se corse... Parce que l'originalité ne garantit pas forcément des ventes. Il faut que le message soit pertinent, qu'il résonne avec les valeurs de la marque et qu'il s'adresse au bon public. Une campagne originale qui rate sa cible, c'est de l'argent foutu en l'air 💸.
Par exemple, j'ai en tête une marque de soda qui avait lancé une pub complètement barrée avec des animaux qui parlaient. C'était hyper viral, tout le monde en parlait, mais les ventes n'ont pas décollé pour autant. Les gens trouvaient ça amusant, mais ça ne les incitait pas à acheter du soda. Donc, buzz != ventes.
Dans mon boulot, on essaie toujours de trouver le juste milieu entre originalité et pertinence. On cherche des idées qui sortent de l'ordinaire, mais qui restent cohérentes avec l'image de marque et les objectifs commerciaux. Et surtout, on teste, on teste, on teste !
Et puis, faut faire gaffe au "greenwashing" et autres tendances fourre-tout. L'originalité, ça doit être sincère, sinon ça se voit tout de suite et ça fait l'effet inverse. En fait, c'est un peu comme une montgolfière : si tu veux vraiment t'élever, faut avoir un bon ballon. Et en parlant de ça, voir le site, y'a des idées marrantes parfois, mine de rien !
Bref, c'est un pari risqué, mais qui peut rapporter gros si on s'y prend bien. 😉
Kenza, quand tu parles de mesurer l'impact, tu penses à quel type d'indicateurs concrètement ? Est-ce que tu as déjà une idée des métriques qui te semblent les plus pertinentes pour évaluer le succès d'une campagne originale ?
Hello Isabella,
Excellente question ! 🤔 Quand je parle de mesurer l'impact, je pense surtout à un ensemble d'indicateurs, allant du quantitatif au qualitatif.
Par exemple, en métriques clés, il y aurait le taux d'engagement (likes, partages, commentaires), le reach (combien de personnes ont vu la pub), le taux de conversion (combien de personnes ont réalisé l'action souhaitée après avoir vu la pub), le coût par acquisition (combien ça coûte d'acquérir un nouveau client grâce à cette pub). 📈
Après, il y a des choses plus "subtiles" mais tout aussi importantes comme l'évolution de la notoriété de la marque (est-ce que plus de gens connaissent la marque après la campagne ?), l'image de marque (est-ce que la campagne a amélioré ou détérioré l'image de la marque ?), le sentiment des consommateurs (est-ce que les gens ont un avis positif ou négatif sur la marque après avoir vu la pub ?). Pour ça, on peut utiliser des outils d'analyse des réseaux sociaux et des sondages. 📊
L'idéal, c'est de mixer ces données pour avoir une vision globale de l'impact de la campagne. C'est pas toujours simple, mais c'est essentiel pour savoir si on a atteint nos objectifs ! 🎯
Pour compléter ce que disait Kenza, je trouve que cette vidéo illustre bien le concept de marketing de guérilla. C'est une approche qui mise vraiment sur la créativité pour marquer les esprits avec un budget limité. On est vraiment dans l'idée de surprendre le public là où il ne s'y attend pas.
Lunaire, c'est bien de souligner l'aspect guérilla. Souvent, on a l'impression que l'originalité rime forcément avec gros budget, mais c'est faux. L'astuce, c'est de bien connaître son public et de trouver l'angle d'attaque qui va faire mouche.
En parlant de sortir du lot, je pense que la publicité native est un levier sous-estimé. Au lieu d'interrompre l'utilisateur, elle s'intègre naturellement à son expérience. Les avantages sont multiples : amélioration de l’expérience utilisateur, adaptation au comportement de l’utilisateur, valeur ajoutée informative, contournement des bloqueurs de publicités, cohérence multiplateforme, augmentation du taux de clics, réduction du taux de rebond, adaptation à l’évolution du comportement des consommateurs, interactions positives avec la marque, publicité non intrusive.
Par exemple, selon une étude de l'IAB, les publicités natives ont un taux de clics 53% plus élevé que les publicités display traditionnelles. C'est pas rien ! Et une autre étude de Sharethrough montre que les consommateurs regardent les publicités natives 25% plus souvent que les bannières classiques. Ça prouve bien que l'intégration est un facteur clé pour capter l'attention.
Le défi, c'est de trouver le bon équilibre entre pertinence et créativité. Il faut que la pub soit informative ou divertissante, tout en restant discrète et en respectant le contexte du site ou de l'application où elle est diffusée. C'est un exercice d'équilibriste, mais ça vaut le coup. Surtout quand on voit le nombre de personnes qui installent des bloqueurs de pub pour ne plus être importunées. La publicité native, c'est une manière de contourner ce problème et de renouer le dialogue avec les consommateurs.
Après, faut pas non plus tomber dans l'excès inverse et faire du contenu sponsorisé déguisé. La transparence est primordiale. Les gens doivent savoir qu'ils sont face à une publicité, même si elle est bien intégrée. Sinon, ça peut créer de la méfiance et nuire à l'image de la marque. La clé, c'est l'authenticité. Si le contenu est sincère et apporte une réelle valeur ajoutée, les consommateurs seront plus enclins à l'accepter, voire à le partager. Et ça, c'est le Graal du marketing digital. Enfin, une étude de Nielsen montre que 70% des consommateurs préfèrent apprendre des produits via du contenu plutôt que via la pub traditionnelle.
En conclusion, l'originalité, c'est bien, mais ça doit être au service d'une stratégie globale et cohérente. Et la publicité native peut être un allié précieux pour atteindre ses objectifs, à condition de bien la maîtriser et de respecter les règles du jeu.
CibleOptimale66, ton "Carrément" me fait penser qu'il y a une réelle méprise sur le sujet... On dirait que le concept t'échappe ou que tu n'as pas pris le temps de lire mon post. On ne peut pas résumer un sujet aussi complexe en un simple mot. J'ai l'impression qu'on se contente d'acquiescer sans chercher à comprendre les tenants et aboutissants.
Je suis d'accord avec toi, la publicité native peut être un outil intéressant pour atteindre ses objectifs, mais il est important de bien la maîtriser et de respecter les règles du jeu. Il faut trouver le bon équilibre entre pertinence et créativité, et ne pas tomber dans l'excès inverse et faire du contenu sponsorisé déguisé. La transparence est primordiale, et les gens doivent savoir qu'ils sont face à une publicité, même si elle est bien intégrée.
En parlant de transparence, une étude de Stanford a révélé que 60% des consommateurs se sentent trompés par les publicités natives qui ne sont pas clairement identifiées comme telles. C'est un chiffre à prendre en compte. Si on veut construire une relation de confiance avec les consommateurs, il faut jouer cartes sur table.
Et puis, il ne faut pas oublier que la publicité native n'est pas une solution miracle. Elle ne fonctionne que si elle est bien ciblée et qu'elle apporte une réelle valeur ajoutée à l'utilisateur. Si on se contente de diffuser du contenu promotionnel sans intérêt, on risque de lasser les consommateurs et de les inciter à installer des bloqueurs de pub.
En résumé, la publicité native peut être un outil puissant, mais il faut l'utiliser avec intelligence et responsabilité. On ne peut pas se contenter d'appliquer des recettes toutes faites sans réfléchir aux spécificités de chaque marque et de chaque public. Et surtout, il faut toujours garder à l'esprit que l'objectif principal, c'est de créer une expérience positive pour l'utilisateur. Parce que, comme le disait David Ogilvy, "On ne vend pas un produit, on vend une expérience". Et ça, c'est valable pour tous les types de publicité, pas seulement pour la publicité native.
Si tu as des exemples concrets de campagnes de publicité native qui ont bien fonctionné, n'hésite pas à les partager. Ça pourrait être intéressant d'analyser les facteurs clés de succès et les erreurs à éviter. Parce que c'est en échangeant nos expériences qu'on progresse et qu'on devient meilleurs dans notre métier. Mais un simple "Carrément" n'apporte rien à la discussion...
AudaceMarketing, ton intervention est top, comme d'hab. Mais je me permets de rebondir sur un point précis : la transparence.
C'est clair que personne n'aime se sentir floué, surtout pas moi. L'étude de Stanford que tu cites (60% des consommateurs se sentent trompés...) est super parlante. Mais, est-ce que le problème, c'est vraiment *la publicité native en elle-même*, ou plutôt *la manière dont elle est implémentée* ?
Je m'explique : si on prend l'exemple des influenceurs (oui, ça peut être une forme de pub native), certains sont hyper transparents sur leurs partenariats, et ça passe très bien auprès de leur communauté. D'autres le font de manière plus détournée, et là, ça coince. Et pourtant, c'est le même format.
Perso, je pense que le vrai défi, c'est d'éduquer les consommateurs à reconnaître les différents types de contenus publicitaires, y compris les pubs natives. Et ça, ça passe par une communication claire et honnête de la part des marques, mais aussi des plateformes qui hébergent ces contenus.
Parce que, soyons réalistes, la pub native a quand même pas mal d'avantages, comme tu le soulignes. Les chiffres que tu donnes (taux de clics +53%, attention +25%) montrent bien que ça peut être un levier efficace pour toucher une audience de manière moins intrusive.
Après, pour revenir à l'originalité, je suis d'accord que ça doit servir une stratégie globale. Mais je pense aussi qu'il faut parfois oser sortir des sentiers battus pour vraiment marquer les esprits. Et là, la pub native peut être un terrain de jeu intéressant, à condition de respecter certaines règles (transparence, pertinence, valeur ajoutée).
Tiens, en parlant d'exemples, je pense à une campagne de Patagonia qui avait créé une série d'articles de blog sur l'impact environnemental de l'industrie textile. C'était hyper bien documenté, informatif, et ça correspondait parfaitement aux valeurs de la marque. Au final, c'était une forme de pub native très réussie, parce que ça apportait une réelle valeur ajoutée aux lecteurs, tout en renforçant l'image de Patagonia comme une entreprise engagée.
Bref, pour moi, la pub native, c'est comme un couteau suisse : ça peut être super utile, mais il faut savoir s'en servir. Et la transparence, c'est la première règle à respecter.
Simone67, ton analogie avec le couteau suisse est top !
Et tu touches un point sensible avec l'éducation des consommateurs. C'est vrai qu'on ne peut pas attendre des gens qu'ils décryptent instinctivement les codes de la pub native. Faut leur donner les clés, leur apprendre à repérer les signaux, à distinguer le contenu authentique du contenu sponsorisé.
C'est un peu comme l'éducation aux médias, en fait. On devrait tous avoir des bases pour ne pas se faire manipuler par les infos (ou les pubs !) qu'on croise en ligne. Et les marques ont un rôle à jouer là-dedans, en étant plus claires sur leurs intentions et en proposant du contenu de qualité, qui apporte une réelle valeur ajoutée.
L'exemple de Patagonia est parfait. C'est ça, la pub native bien faite : un contenu utile, intéressant, qui correspond aux valeurs de la marque et qui s'intègre naturellement dans l'expérience utilisateur. Pas une simple insertion publicitaire déguisée.
Je me demandais si l'ajout d'un disclaimer clair et visible sur les publicités natives pourrait aider à rétablir la confiance des consommateurs. Un truc du genre "Article sponsorisé" ou "Contenu partenaire", placé de manière non intrusive mais facilement repérable.
On pourrait aussi imaginer des pictogrammes ou des logos spécifiques, un peu comme ceux qu'on trouve sur les emballages alimentaires pour indiquer la présence d'allergènes ou d'additifs.
Ce serait une façon simple et efficace de jouer cartes sur table et d'éviter toute confusion. Qu'en pensez-vous ?
le 23 Septembre 2025
L'originalité, c'est un peu le serpent qui se mord la queue dans la pub, non ? 🤔 Parce que ce qui est perçu comme "original" aujourd'hui sera peut-être ringard demain... Faut pas se louper. Mais bon, si c'est bien fait, ça peut faire mouche. Je pense que le vrai avantage, c'est surtout de sortir du lot dans un océan de messages publicitaires qui se ressemblent tous. Si tu arrives à capter l'attention avec une idée vraiment neuve, tu as plus de chances de marquer les esprits et, potentiellement, de créer un lien émotionnel avec le public. Le truc, c'est que ça demande une sacrée dose de créativité (et un peu de courage, faut dire). Après, pour le ROI, c'est là où ça se corse... Parce que l'originalité ne garantit pas forcément des ventes. Il faut que le message soit pertinent, qu'il résonne avec les valeurs de la marque et qu'il s'adresse au bon public. Une campagne originale qui rate sa cible, c'est de l'argent foutu en l'air 💸. Par exemple, j'ai en tête une marque de soda qui avait lancé une pub complètement barrée avec des animaux qui parlaient. C'était hyper viral, tout le monde en parlait, mais les ventes n'ont pas décollé pour autant. Les gens trouvaient ça amusant, mais ça ne les incitait pas à acheter du soda. Donc, buzz != ventes. Dans mon boulot, on essaie toujours de trouver le juste milieu entre originalité et pertinence. On cherche des idées qui sortent de l'ordinaire, mais qui restent cohérentes avec l'image de marque et les objectifs commerciaux. Et surtout, on teste, on teste, on teste ! Et puis, faut faire gaffe au "greenwashing" et autres tendances fourre-tout. L'originalité, ça doit être sincère, sinon ça se voit tout de suite et ça fait l'effet inverse. En fait, c'est un peu comme une montgolfière : si tu veux vraiment t'élever, faut avoir un bon ballon. Et en parlant de ça, voir le site, y'a des idées marrantes parfois, mine de rien ! Bref, c'est un pari risqué, mais qui peut rapporter gros si on s'y prend bien. 😉
le 23 Septembre 2025
Kenza, quand tu parles de mesurer l'impact, tu penses à quel type d'indicateurs concrètement ? Est-ce que tu as déjà une idée des métriques qui te semblent les plus pertinentes pour évaluer le succès d'une campagne originale ?
le 23 Septembre 2025
Hello Isabella, Excellente question ! 🤔 Quand je parle de mesurer l'impact, je pense surtout à un ensemble d'indicateurs, allant du quantitatif au qualitatif. Par exemple, en métriques clés, il y aurait le taux d'engagement (likes, partages, commentaires), le reach (combien de personnes ont vu la pub), le taux de conversion (combien de personnes ont réalisé l'action souhaitée après avoir vu la pub), le coût par acquisition (combien ça coûte d'acquérir un nouveau client grâce à cette pub). 📈 Après, il y a des choses plus "subtiles" mais tout aussi importantes comme l'évolution de la notoriété de la marque (est-ce que plus de gens connaissent la marque après la campagne ?), l'image de marque (est-ce que la campagne a amélioré ou détérioré l'image de la marque ?), le sentiment des consommateurs (est-ce que les gens ont un avis positif ou négatif sur la marque après avoir vu la pub ?). Pour ça, on peut utiliser des outils d'analyse des réseaux sociaux et des sondages. 📊 L'idéal, c'est de mixer ces données pour avoir une vision globale de l'impact de la campagne. C'est pas toujours simple, mais c'est essentiel pour savoir si on a atteint nos objectifs ! 🎯
le 24 Septembre 2025
Pour compléter ce que disait Kenza, je trouve que cette vidéo illustre bien le concept de marketing de guérilla. C'est une approche qui mise vraiment sur la créativité pour marquer les esprits avec un budget limité. On est vraiment dans l'idée de surprendre le public là où il ne s'y attend pas.
le 24 Septembre 2025
Lunaire, c'est bien de souligner l'aspect guérilla. Souvent, on a l'impression que l'originalité rime forcément avec gros budget, mais c'est faux. L'astuce, c'est de bien connaître son public et de trouver l'angle d'attaque qui va faire mouche. En parlant de sortir du lot, je pense que la publicité native est un levier sous-estimé. Au lieu d'interrompre l'utilisateur, elle s'intègre naturellement à son expérience. Les avantages sont multiples : amélioration de l’expérience utilisateur, adaptation au comportement de l’utilisateur, valeur ajoutée informative, contournement des bloqueurs de publicités, cohérence multiplateforme, augmentation du taux de clics, réduction du taux de rebond, adaptation à l’évolution du comportement des consommateurs, interactions positives avec la marque, publicité non intrusive. Par exemple, selon une étude de l'IAB, les publicités natives ont un taux de clics 53% plus élevé que les publicités display traditionnelles. C'est pas rien ! Et une autre étude de Sharethrough montre que les consommateurs regardent les publicités natives 25% plus souvent que les bannières classiques. Ça prouve bien que l'intégration est un facteur clé pour capter l'attention. Le défi, c'est de trouver le bon équilibre entre pertinence et créativité. Il faut que la pub soit informative ou divertissante, tout en restant discrète et en respectant le contexte du site ou de l'application où elle est diffusée. C'est un exercice d'équilibriste, mais ça vaut le coup. Surtout quand on voit le nombre de personnes qui installent des bloqueurs de pub pour ne plus être importunées. La publicité native, c'est une manière de contourner ce problème et de renouer le dialogue avec les consommateurs. Après, faut pas non plus tomber dans l'excès inverse et faire du contenu sponsorisé déguisé. La transparence est primordiale. Les gens doivent savoir qu'ils sont face à une publicité, même si elle est bien intégrée. Sinon, ça peut créer de la méfiance et nuire à l'image de la marque. La clé, c'est l'authenticité. Si le contenu est sincère et apporte une réelle valeur ajoutée, les consommateurs seront plus enclins à l'accepter, voire à le partager. Et ça, c'est le Graal du marketing digital. Enfin, une étude de Nielsen montre que 70% des consommateurs préfèrent apprendre des produits via du contenu plutôt que via la pub traditionnelle. En conclusion, l'originalité, c'est bien, mais ça doit être au service d'une stratégie globale et cohérente. Et la publicité native peut être un allié précieux pour atteindre ses objectifs, à condition de bien la maîtriser et de respecter les règles du jeu.
le 24 Septembre 2025
Carrément.
le 24 Septembre 2025
CibleOptimale66, ton "Carrément" me fait penser qu'il y a une réelle méprise sur le sujet... On dirait que le concept t'échappe ou que tu n'as pas pris le temps de lire mon post. On ne peut pas résumer un sujet aussi complexe en un simple mot. J'ai l'impression qu'on se contente d'acquiescer sans chercher à comprendre les tenants et aboutissants. Je suis d'accord avec toi, la publicité native peut être un outil intéressant pour atteindre ses objectifs, mais il est important de bien la maîtriser et de respecter les règles du jeu. Il faut trouver le bon équilibre entre pertinence et créativité, et ne pas tomber dans l'excès inverse et faire du contenu sponsorisé déguisé. La transparence est primordiale, et les gens doivent savoir qu'ils sont face à une publicité, même si elle est bien intégrée. En parlant de transparence, une étude de Stanford a révélé que 60% des consommateurs se sentent trompés par les publicités natives qui ne sont pas clairement identifiées comme telles. C'est un chiffre à prendre en compte. Si on veut construire une relation de confiance avec les consommateurs, il faut jouer cartes sur table. Et puis, il ne faut pas oublier que la publicité native n'est pas une solution miracle. Elle ne fonctionne que si elle est bien ciblée et qu'elle apporte une réelle valeur ajoutée à l'utilisateur. Si on se contente de diffuser du contenu promotionnel sans intérêt, on risque de lasser les consommateurs et de les inciter à installer des bloqueurs de pub. En résumé, la publicité native peut être un outil puissant, mais il faut l'utiliser avec intelligence et responsabilité. On ne peut pas se contenter d'appliquer des recettes toutes faites sans réfléchir aux spécificités de chaque marque et de chaque public. Et surtout, il faut toujours garder à l'esprit que l'objectif principal, c'est de créer une expérience positive pour l'utilisateur. Parce que, comme le disait David Ogilvy, "On ne vend pas un produit, on vend une expérience". Et ça, c'est valable pour tous les types de publicité, pas seulement pour la publicité native. Si tu as des exemples concrets de campagnes de publicité native qui ont bien fonctionné, n'hésite pas à les partager. Ça pourrait être intéressant d'analyser les facteurs clés de succès et les erreurs à éviter. Parce que c'est en échangeant nos expériences qu'on progresse et qu'on devient meilleurs dans notre métier. Mais un simple "Carrément" n'apporte rien à la discussion...
le 25 Septembre 2025
AudaceMarketing, ton intervention est top, comme d'hab. Mais je me permets de rebondir sur un point précis : la transparence. C'est clair que personne n'aime se sentir floué, surtout pas moi. L'étude de Stanford que tu cites (60% des consommateurs se sentent trompés...) est super parlante. Mais, est-ce que le problème, c'est vraiment *la publicité native en elle-même*, ou plutôt *la manière dont elle est implémentée* ? Je m'explique : si on prend l'exemple des influenceurs (oui, ça peut être une forme de pub native), certains sont hyper transparents sur leurs partenariats, et ça passe très bien auprès de leur communauté. D'autres le font de manière plus détournée, et là, ça coince. Et pourtant, c'est le même format. Perso, je pense que le vrai défi, c'est d'éduquer les consommateurs à reconnaître les différents types de contenus publicitaires, y compris les pubs natives. Et ça, ça passe par une communication claire et honnête de la part des marques, mais aussi des plateformes qui hébergent ces contenus. Parce que, soyons réalistes, la pub native a quand même pas mal d'avantages, comme tu le soulignes. Les chiffres que tu donnes (taux de clics +53%, attention +25%) montrent bien que ça peut être un levier efficace pour toucher une audience de manière moins intrusive. Après, pour revenir à l'originalité, je suis d'accord que ça doit servir une stratégie globale. Mais je pense aussi qu'il faut parfois oser sortir des sentiers battus pour vraiment marquer les esprits. Et là, la pub native peut être un terrain de jeu intéressant, à condition de respecter certaines règles (transparence, pertinence, valeur ajoutée). Tiens, en parlant d'exemples, je pense à une campagne de Patagonia qui avait créé une série d'articles de blog sur l'impact environnemental de l'industrie textile. C'était hyper bien documenté, informatif, et ça correspondait parfaitement aux valeurs de la marque. Au final, c'était une forme de pub native très réussie, parce que ça apportait une réelle valeur ajoutée aux lecteurs, tout en renforçant l'image de Patagonia comme une entreprise engagée. Bref, pour moi, la pub native, c'est comme un couteau suisse : ça peut être super utile, mais il faut savoir s'en servir. Et la transparence, c'est la première règle à respecter.
le 25 Septembre 2025
Simone67, ton analogie avec le couteau suisse est top ! Et tu touches un point sensible avec l'éducation des consommateurs. C'est vrai qu'on ne peut pas attendre des gens qu'ils décryptent instinctivement les codes de la pub native. Faut leur donner les clés, leur apprendre à repérer les signaux, à distinguer le contenu authentique du contenu sponsorisé. C'est un peu comme l'éducation aux médias, en fait. On devrait tous avoir des bases pour ne pas se faire manipuler par les infos (ou les pubs !) qu'on croise en ligne. Et les marques ont un rôle à jouer là-dedans, en étant plus claires sur leurs intentions et en proposant du contenu de qualité, qui apporte une réelle valeur ajoutée. L'exemple de Patagonia est parfait. C'est ça, la pub native bien faite : un contenu utile, intéressant, qui correspond aux valeurs de la marque et qui s'intègre naturellement dans l'expérience utilisateur. Pas une simple insertion publicitaire déguisée.
le 25 Septembre 2025
Je me demandais si l'ajout d'un disclaimer clair et visible sur les publicités natives pourrait aider à rétablir la confiance des consommateurs. Un truc du genre "Article sponsorisé" ou "Contenu partenaire", placé de manière non intrusive mais facilement repérable. On pourrait aussi imaginer des pictogrammes ou des logos spécifiques, un peu comme ceux qu'on trouve sur les emballages alimentaires pour indiquer la présence d'allergènes ou d'additifs. Ce serait une façon simple et efficace de jouer cartes sur table et d'éviter toute confusion. Qu'en pensez-vous ?